Damien Bonnard, le père: «J’ai revu mes priorités»

Depuis 2016 et Rester vertical, d’Alain Guiraudie, qui marqua les esprits, Damien Bonnard élargit ses zones de jeu. De Dunkerque, de Christopher Nolan, à J’accuse, de Roman Polanski, et à la consécration cannoise avec Les misérables, de Ladj Li. Issu d’une famille d’artistes, avec notamment un grand-père fondeur d’art et souffleur de verre, il a grandi dans le bronze, le verre soufflé et la notion de la création. Sa devise est : engagement maximum. Il n’aime pas se prendre au sérieux mais n’aime pas non plus faire les choses à la légère. Avec Joachim Lafosse, il a beaucoup échangé. « On a beaucoup réécrit ensemble. Je me suis formé à plein d’endroits, que ce soit en peinture, par rapport à la maladie, en allant voir des psychiatres, en passant du temps avec des patients, en lisant, en travaillant avec un boxeur pour trouver des choses dans la violence. » Il précise : «

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