Pandora Papers: le Premier ministre tchèque se défend, l’opposition vent debout
Moins d’une semaine avant les élections législatives, l’enquête tombe mal pour le milliardaire populiste Andrej Babis qui domine la politique tchèque depuis maintenant huit années.

Cela date de 2009, donc le timing est intéressant », a répondu le Premier ministre tchèque Andrej Babis en plein débat pré-électoral dimanche soir, quelques heures après la sortie des révélations sur son achat de propriétés luxueuses en France par l’entremise de firmes offshore. Niant toute manœuvre illégale, il a présenté l’enquête comme un coup de la presse d’opposition. « C’est l’œuvre de notre mafia », a-t-il rétorqué à la modératrice, qui lui faisait remarquer que l’enquête était internationale.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Vous remarquerez le choix éditorial: la personnalité d'Europe centrale est citée en vedette, celle des vertueux Pays-Bas, beaucoup plus discrètement, tout au fond. Un hasard? Sûrement pas...
Game over biloute.