Les compétitions sportives mixtes, un nouveau souffle: progrès anecdotique ou pas en avant?
Jeux olympiques, championnats du monde de cyclisme… Les programmes internationaux ouvrent des plages de mixité de plus en plus larges. Athlètes, fédérations et médias semblent trouver leur compte dans ce nouveau format.

La parité est dans l’air du temps, elle infuse les valeurs dynamiques du partage et de l’échange d’expériences à travers notre vie en société. Elle s’applique de facto aussi au sport, avec une franchise que les derniers Jeux olympiques ont affirmée plus nettement. A Tokyo, dans cette immense bulle sanitaire aux reflets étranges et surréalistes, 48,8 % des 11.000 athlètes étaient des femmes. L’équilibre mathématique parfait devrait être atteint lors de Paris 2024. 124 ans plus tôt, dans la capitale française, elles étaient 22 (pour 975 hommes), concouraient en tennis et golf, mais de premiers sports permettaient déjà la mixité dans l’effort : la voile, le croquet et l’équitation.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire