«Squid Game», d’abord une plongée dans la misère du monde
On pourrait estimer que sur Netflix, « Squid Game », est à la pédagogie sur la misère du monde ce que le formidable « Sex Education » est à la sexualité des adolescents.


Squid Game » est désormais sur toutes les bouches, entré dans la sphère publique belge par une cour de récréation où des camarades ont violemment frappé au visage une petite fille qui avait perdu à « 1,2,3 soleil ».
L’inspiration de cette cruauté enfantine proviendrait d’une série coréenne qui cartonne sur la planète et porte le nom de la marelle qu’en Corée on désigne comme le « jeu du calamar » (« squid », en anglais).
Avant d’émettre un avis, il faut voir cette série. Pour découvrir un excellent « produit », tant sur la forme que sur le fond, qui nous confronte à la détresse du monde, incarnée par des misérables des bas-fonds de Séoul.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Le souci réside DANS LE COMMENT GÉRER le contact d’enfants, d’adolescents, voire d’adultes fragiles avec ce qui est en passe de devenir le succès historique et planétaire de Netflix. « Squid Game » ne nous recommande pas de battre à mort ceux qui perdent, mais au contraire et surtout, de regarder les extrémités où le désespoir pousse les perdants du monde, et DE RÉFLÉCHIR À COMMENT combler le fossé dans lequel ils sont précipités, broyés et parfois, oui, achevés." Le new French, what a pity !