Réhabilitation: Marchienne-au-Pont croit en son renouveau
Après des années de misère et de décadence, la porte ouest de Charleroi fourmille de projets. De quoi rendre le sourire à cette commune, si grise mais si chaleureuse.


Il y a toujours des fumées qui sortent des dernières cheminées, sortes d’espèces en voie de disparition, preuve s’il en fallait que l’industrie continue à animer ce coin de Charleroi. Marchienne-au-Pont, zone en déshérence, souvent raillée par la Belgique entière pour sa misère et sa laideur née de l’abandon progressif de ses usines, maintient pourtant la tête hors de l’eau depuis des décennies. Comme une tentative désespérée de conserver un minimum de fierté.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
J'oublie d'ajouter: PROPRE.
K'ai été plusieurs fois à Piitburgh. La première fois: surprise à l'aéroport, j'entendais parler wallon. Elle était comparable à Charleroi. Les gens ne pouvaient pas mettre leur linge à sécher dehors. Deuxième visite, ils démantelaient les HF et construisaient un métro. Les travaux invisibles, ils travaillaient la nuit. Lors d'une émission à la télé, le responsable des travaux expliquait qu'il avait fait une tournée des villes qui construisaient un métro. Ce qu'il en avait retenu était surtout l'exemple qu'il ne fallait pas suivre; Bruxelles ! La visite suivante, on découvrait une ville renaissante grouillante d'activités: activités industrielles propres, activités de recherche et développements, culturelles avec un taux de chômage faible. Bref, très dynamiques.