La présidentielle française dans les sables mouvants
A six mois du scrutin élyséen, plusieurs inconnues rendent l’issue plus incertaine que jamais. Emmanuel Macron reste favori, mais une surprise n’est pas exclue.


C’est presque une loi politique française. A l’automne qui précède une présidentielle, le duel qui se dégage des sondages ne se confirme que rarement. A six mois exactement du deuxième tour décisif, le 24 avril prochain, la revanche qui paraissait inéluctable entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen pourrait bien ne pas avoir lieu. La réélection du président sortant, si elle reste le scénario le plus probable, est loin d’être assurée. Il faudrait un miracle à la gauche pour se redresser. Mais la droite et l’extrême droite, elles, n’ont pas dit leur dernier mot.
En cause, bien sûr, le surgissement d’Eric Zemmour, qui n’est même pas encore candidat, mais qui bouscule un paysage politique déjà dynamité par la victoire d’Emmanuel Macron en 2017.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Si Eric Zemmour devait se hisser au deuxième tour, ce qui est loin d’être acquis, Emmanuel Macron gagnerait plus franchement face à lui que face à Marine Le Pen ? Ça je n'en suis absolument pas convaincu.