Cécile de France: «A mes débuts, on s’est moqué de moi parce que j’étais Belge»
L’actrice retrouve le réalisateur français Xavier Giannoli pour la troisième fois avec « Illusions perdues », captivante relecture du roman de Balzac. Elle y incarne avec justesse Louise de Bargeton, mécène et amour du jeune héros.


Dans Illusions perdues, le réalisateur français Xavier Giannoli adapte Balzac au cinéma pour raconter les rêves déchus, l’amour, les dérives de la société et du pouvoir à travers l’histoire de Lucien de Rubempré, ce jeune poète qui quitte sa province natale pour rejoindre Paris et y accomplir ses rêves. Un pari risqué mais relevé haut la main.
Dans cette passionnante relecture d’un classique de la littérature, Cécile de France est Louise de Bargeton, une aristocrate provinciale, mécène, protectrice et grand amour de Lucien de Rubempré. Un rôle que l’actrice belge, révélée notamment par L’Auberge espagnole, aujourd’hui installée en France et de plus en plus demandée à l’international (elle apparaît dans The French Dispatch de Wes Anderson après notamment The Young Pope et The New Pope de Paolo Sorrentino), a accueilli avec joie et une confiance aveugle.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Faut-il s'étonner qu'on se moque (peut-être gentiment) d'une belge qui débarque à Paris en disant : "Je m’appelle Cécile de France" ? Mais enfin, elle a une excuse : son "vrai" nom est bien "Defrance", en un mot.