Le sommet européen veut bétonner le contrôle de ses frontières extérieures
Les dirigeants des Vingt-Sept Etats membres de l’UE ont eu vendredi une longue discussion sur la migration, la première du genre depuis juin 2018. Haro sur « l’attaque hybride » lancée par le régime biélorusse !


Cinq heures pour l’un. Une vingtaine de minutes pour l’autre. Voilà le bilan horaire des deux faits marquants du second jour du sommet européen, tenu ces jeudi et vendredi à Bruxelles. De façon inattendue, pas moins de cinq heures ont été consacrées par les dirigeants européens au brûlant dossier de l’immigration. Un temps beaucoup plus modeste a permis aux « chefs » de saluer sobrement le dernier sommet pour deux d’entre eux : le Premier ministre suédois Stefan Löfven après sept ans au pouvoir et, surtout, la championne Angela Merkel, 107 sommets au compteur. La chancelière allemande, réputée « prestataire de solutions », devrait avoir quitté le pouvoir d’ici au prochain Conseil européen, mi-décembre. Elle laisse l’Europe face à d’immenses défis… et foires d’empoigne – on épinglera le bouleversement de la transition verte et les dissensions sur l’Etat de droit et les « valeurs »…

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir10 Commentaires
-
Posté par Joute Dodo, dimanche 24 octobre 2021, 18:07
-
Posté par dams jean-marie, samedi 23 octobre 2021, 13:33
-
Posté par Monsieur Alain, samedi 23 octobre 2021, 8:51
-
Posté par ADAM Jean-Victor, vendredi 22 octobre 2021, 23:15
-
Posté par collin liliane, vendredi 22 octobre 2021, 23:09
Plus de commentairesJ'espère vraiment que le compte rendu de Philippe Regnier n'est que partiel. Car fondamentalement, si nous avons tant de demandes d'asile, c'est parce que des états-voyoux (Bielorussie, russie, turquie, maroc, lybie et bien d'autre) voient les réfugiés comme une source de racket contre l'UE. Si il y a une telle circulation intra-européenne, c'est parce que la politique d'asile est laissée à la discrétion de chaque état européen. Et que certains font un racket intraeuropéen sur cette question. Et que nous n'avons pas non plus de politique étrangère commune. L'UE a grandi trop vite. Peut-être les "exit" de certains pays qui profitent un peu trop bien de notre générosité (Pologne, Hongrie et autres du groupe de Visegrag) seraient finalement profitables à l'UE. Qu'ils partent vite!
Bla bla comme toujours : rien dans les faits! Tournez la page ; la Pologne : tournez la page! Les européens en ont marre de l'immigration de masse surtout islamique . Ces obscurantistes de l'âge de la pierre nous désintègrent alors qu'ils devraient nous remercier et s'intégrer dans nos pays .Non au contraire ils exigent chaque jour un peu plus et nuisent aux valeurs occidentales !
Cela fait des années que l'UE sous-traite sa politique migratoire aux maffias des passeurs, aux ONG (bien intentionnées ?) et à ses Etats voisins ... Ce n'est donc pas prêt de changer. De sorte que, le défi démographique européen est également sous-traité à des intérêts extérieurs, divergents et souvent criminels.
Encore du bidon ...
« Nos frontières extérieures doivent être contrôlées efficacement." Constat d'échec de la politique de contrôle des 30 dernières années.