Pauvreté: «Sans les Restos du Cœur, on mangerait des cailloux»
La crise sanitaire a aggravé la pauvreté en Belgique en 2020. Et celle-ci n’a pas baissé avec le déconfinement. En milieu rural, là où il n’y a pas de restaurant social, un foodtruck vient livrer les colis alimentaires aux plus démunis.


Je viens ici deux fois par mois depuis un an. J’ai eu des soucis financiers et des problèmes de santé. » Tout en trimbalant ses deux sacs de provision, Béatrice se raconte avec gentillesse. Elle vient de faire le plein de victuailles au « foodtruck » du Resto du Cœur qui, comme presque tous les lundis, fait escale à Beaumont pour y distribuer des colis alimentaires.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
"Certaines personnes seraient encore dans la pauvreté car elles peinent à gérer leurs revenus sans l’aide des services sociaux." J'en connais plusieurs, de tous milieux. Même s'ils recevaient 5.000 nets par mois, en une semaine tout serait dépensé. On les appelle communément "paniers percés". Est-ce au pays à toujours et sans cesse s'acharner à aider ces gens ? Ou préfère-t-on continuer à les infantiliser pour qu'ils soient politiquement redevables ?