La biotech Novadip accélère sa croissance dans la reconstruction des os
La spin-off de l’UCLouvain vient de lever de nouveaux fonds à hauteur de 19 millions d’euros auprès d’investisseurs internationaux. Le développement de sa technologie de thérapie cellulaire pourrait lui permettre de générer 200 emplois en Wallonie d’ici quelques années.


Reconstruire des os gravement endommagés au départ de cellules-souches prélevées dans les tissus adipeux du patient : voilà une idée qui, il y a dix ou vingt ans, aurait relevé de l’utopie la plus folle. Une idée qui, désormais concrétisée au profit de patients bien réels, vient de permettre à la biotech wallonne Novadip Biosciences de lever 19 millions d’euros supplémentaires afin de poursuivre sa croissance.
Deux types de traitements sont en réalité désormais développés par l’entreprise, qui emploie actuellement une quarantaine de collaborateurs à Mont-Saint-Guibert. Le premier, qui a justifié la création de Novadip en 2015 en tant que spin-off de l’UCLouvain et des cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, permet effectivement de reconstruire des os au départ de cellules prélevées chez le patient.

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