Accueil Société

Un agent pénitentiaire: « On parle de conditions horribles de détention, mais c’est aussi notre quotidien »

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Enquêtes Temps de lecture: 6 min

Ne l’appelez surtout pas « maton » mais agent pénitentiaire ou assistant de surveillance pénitentiaire. C’est important les mots. Les statuts aussi. « Gardien de prison ? Ca ne veut rien dire. Les murs se gardent très bien tous seuls », s’amuse Pascal, 50 ans, avant de se reprendre : « Quoi que… » Depuis le 25 avril, le surveillant de la prison de Forest a débrayé comme la majorité de ses collègues en Wallonie et à Bruxelles. Leurs principales revendications : mettre un coup d’arrêt aux mesures de rationalisation, revenir au cadre du personnel de 2014 (7.197 équivalents temps plein contre 6.722 actuellement), obtenir un statut propre qui reconnaisse la pénibilité et les particularités de leur profession.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Société

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs