Le socio-culturel à l’épreuve du pass sanitaire
Le pass sanitaire est-il compatible avec la culture pour tous ? Les centres culturels se plient à la loi, mais certains explorent les alternatives légales.


Précédée par les exemples français et bruxellois, l’imposition d’un pass sanitaire ce 1er novembre dans les centres culturels de Wallonie n’a guère suscité de nouveau débat : « Pour une grande majorité d’entre nous, on applique le CST la mort dans l’âme », note la directrice de l’Association des centres culturels (ACC) Patricia Santoro, « et on espère que ce soit pour une période la plus courte possible. » L’essentiel du débat – et de la résistance au CST – s’est déroulé lors de l’adoption du pass à Bruxelles. C’est là aussi qu’ont été expérimentées les rares alternatives légales : soit organiser des représentations de moins de cinquante personnes, soit proposer aux personnes non vaccinées un test gratuit (ou à bas prix) avant d’entrer en salle.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire