Faut-il rouler moins vite pour préserver la planète?
Imposer les 90 km/h sur certaines autoroutes passant en ville ? Certains maires français y songent. Les bénéfices sont difficiles à mesurer mais semblent réels.


La ministre française de l’Ecologie, Ségolène Royal (PS), a indiqué il y a quelques jours qu’elle autorisera les maires qui le désirent à limiter à 90 km/h la vitesse maximale sur des tronçons d’autoroute traversant leur ville. C’est le cas de Valence. Objectif : lutter contre la pollution de l’air. Efficace ? De nombreuses études ont tenté de mesurer les effets d’une réduction de la vitesse de circulation sur la pollution, le niveau de bruit, la congestion et la sécurité routière. Pas facile : les chiffres ne sont pas toujours disponibles. Les méthodologies diffèrent. Par ailleurs, les mesures dépendent de la fluidité, de la géographie et de la nature du trafic (plus ou moins de poids lourds). L’Agence française de l’Environnement a récemment résumé plus d’une quinzaine d’études réalisées un peu partout en Europe.

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