Mort d’un étudiant: la place du baptême et sa gestion à nouveau critiquées
Suite au décès d’un étudiant lors d’un baptême, la Haute école Hénallux a décidé de suspendre « jusqu’à nouvel ordre » toutes les activités festives. Face à ce nouvel incident, le rôle des autorités politiques et académiques dans l’encadrement de ces activités se fait prégnant.


Le décès d’un jeune homme de 19 ans après avoir participé à un baptême étudiant laissera des traces. Depuis cette annonce, l’ensemble du folklore étudiant se trouve endeuillé. Et pas seulement les 300 jeunes présents sur place au moment des faits. Si pour l’heure, rien ne relie le décès aux activités auxquelles a participé l’étudiant, les regards se tournent déjà sur le folklore estudiantin. L’alcool banni du baptême en lui-même, « coulait à flot » une fois les bleus et bleuettes (les futurs baptisés) passés devant un membre du comité, a indiqué Vincent Macq, le procureur du Roi de Namur.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Heureusement a Liege les autorités academiques n' ont strictement rien a interferer avec les comites de bapteme ; l' ULIEGE ne les subventionnent pas, ne leur prete pas de locaux, l indépendance est totale.