Au procès des attentats de Paris, la déprime de certains accusés
Plusieurs accusés se disent ébranlés par les récits des victimes. Ils décrivent aussi, voire surtout, les ravages des attentats sur leur propre vie.


Avant de s’avancer ce vendredi à la barre de la cour d’assises spécialement composée de magistrats professionnels, il a fait un malaise. Le stress d’avoir à parler après neuf semaines d’audiences dont cinq consacrées aux témoignages bouleversants des victimes. Ali Oulkadi, 37 ans, qui se tient les mains jointes dans le dos, n’en mène pas large dans ses baskets à la barre. « J’ai écouté attentivement les témoignages des victimes. Ils m’ont vraiment ému. Ce qu’ils ont vécu, c’est incroyable. Je n’ai pas de mots. Pour la grande majorité d’entre eux, ils n’expriment pas de haine. Je ne l’oublierai jamais », dit-il.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir6 Commentaires
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Posté par Dupont Vincienne, samedi 6 novembre 2021, 0:26
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Posté par lambert viviane, vendredi 5 novembre 2021, 19:42
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Posté par lambert viviane, vendredi 5 novembre 2021, 19:40
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Posté par collin liliane, vendredi 5 novembre 2021, 19:14
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Posté par Rabozee Michel, vendredi 5 novembre 2021, 19:02
Plus de commentairesDes crapules, c'est tout, on se fout de leurs petites déprimes.
Glaçant ! Beaucoup d'apitoiement sur leur petite personne mais aucune empathie avec les victimes aucune émotion. De vrais psychopathes.
Glaçant ! Beaucoup d'apitoiement sur leur petite personne mais aucune empathie avec les victimes aucune émotion. De vrais psychopathes.
Des crapules qui après leur détention devraient être expulsées avec leur famille vers leur pays d'origine. Le problème est que celui-ci, trop content de s'être débarrassé de son lumpenproletariat dans les pays occidentaux naïfs à souhait, est assez intelligent pour refuser de les reprendre.
Pauvres petits choux, ils sont déprimés ? Rho, ben allez, une petite tape sur la main, un mars, et ça repartira ! Non mais.