Le long de la Vesdre, la détresse psychologique des sinistrés ne fait encore qu’affleurer
Toujours plongées dans l’inconfort matériel et l’incertitude à long terme, nombre de victimes des inondations n’ont en réalité pas encore posé leurs valises. Quatre mois après le drame de juillet, leur état de détresse psychologique reste compliqué à évaluer.


Dévastée comme tant d’autres par les flots boueux de la Vesdre, la maison de Brigitte André n’a pas encore retrouvé tout ce qui en faisait le charme jusqu’au mois de juillet dernier. « C’était notre havre de paix au bout d’une impasse, notre petit coin de paradis que nous avions rénové pendant cinq ans en espérant y couler sereinement nos vieux jours », commente-t-elle. « D’ordinaire de nature optimiste, j’avoue traverser une période compliquée. C’est comme si j’avais en permanence un étau sur le cœur. »

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
La facon dont ces personnes ont ete abandonnées est révoltante .
Comme d’habitude, rien n’est bien organisé dans ce pays au fonctionnement bananier.