La Boucle du Hainaut, indispensable selon une experte canadienne
Le projet d’Elia est fondamental. L’option aérienne est la plus logique. Mais un enfouissement partiel est envisageable : dix kilomètres sur une soixantaine.


Une pièce importante vient s’ajouter au dossier très délicat de la Boucle du Hainaut, cette ligne électrique à très haute tension qu’Elia envisage de mettre en place à travers tout le Hainaut entre Avelgem et Courcelles, sur une soixantaine de kilomètres. Il s’agit du rapport d’expert commandé par Willy Borsus (MR), le ministre wallon de l’Aménagement du territoire, qui voulait « challenger » la demande de l’investisseur et le travail du spécialiste français Jing Dai. Ce regard neuf avait été confié à la Canadienne Menelika Bekolo Mekomba.
Les conclusions de cette experte portent sur deux demandes formulées par le ministre.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
On choisit les experts qui sont dans leur camp. Qui est cette experte ?
On choisit les experts qui sont dans leur camp. Qui est cette experte ?
On ne nous parle ni des nuisances environnementales, de santé publique, écologiques (impactes sur la nature pas du dogme Ecolo), destructions des paysages, installations des centrales au gaz pour combler les déficits de vent, ni du coût financier de l'installation de cette boucle à très haute tension ainsi que de l'impacte sur nos factures d'électricité. Les Ecolo hurlent pour la 5G, mais pour cette boucle, No Problemo. Allez comprendre. Il y a d'autres alternatives dont le nucléaire.