Pression maximale sur Alexander De Croo pour prendre de nouvelles mesures sanitaires
Virologues, gouverneurs, ministre fédéral de la Santé : les appels à serrer encore la vis se multiplient. Mais Alexander De Croo temporise. Un Conseil des ministres restreint se tient vendredi. Un Comité de concertation la semaine prochaine est probable.

C’est plus que de la pression, ce n’est pas (encore ?) de la panique, on est entre les deux. Une semaine après le Comité de concertation, et malgré une courbe des chiffres qui faisait partie des scénarios de la semaine dernière, les responsables politiques sont sollicités, interpellés, poussés à… « réagir ». Dans toutes les langues.
D’abord celle des gouverneurs de province. Les six hauts fonctionnaires wallons (Liège, Hainaut, Brabant wallon, Namur, Luxembourg) ont donné le ton fin de matinée en délivrant ce message : « Le fédéral doit prendre ses responsabilités ». Quelques heures plus tard, les dix gouverneurs du pays cette fois, francophones et flamands réunis – Cathy Berx, pour la province d’Anvers, se démultiplie dans les médias au nord depuis 48 heures –, après des échanges de vue dans l’après-midi, en présence de représentants du centre de crise fédéral, ont renchéri : « Il faut un comité de concertation ».

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir30 Commentaires
-
Posté par Van Haesendonck Eric, jeudi 25 novembre 2021, 11:10
-
Posté par Dupont Vincienne, jeudi 25 novembre 2021, 3:23
-
Posté par Dupont Vincienne, jeudi 25 novembre 2021, 3:22
-
Posté par Dupont Vincienne, jeudi 25 novembre 2021, 3:22
-
Posté par Dupont Vincienne, jeudi 25 novembre 2021, 3:23
Plus de commentairesReconfiner ou refermer des secteurs entiers passerai très mal vis-à-vis de la population. D'abord parce que c'est trop liberticide, si ça a pu être accepté de manière temporaire au début de la pendemie on est maintenant presque 2 ans plus loin, les même restrictions ne sont plus acceptable. Ensuite si on en vient à devoir confiner il faut aussi rendre la vaccination obligatoire. Si on ne le fait pas ça serait sacrifier la liberté du plus grand nombre pour préserver le choix d'une petite minorité, ce qui serait inacceptable.
Il faut surtout écouter la majorité des personnes qui ont été sérieuses, patientes, et non la toute petite minorité qui fait beaucoup de bruit à raconter n'importe quoi.
Il faut surtout écouter la majorité des personnes qui ont été sérieuses, patientes, et non la toute petite minorité qui fait beaucoup de bruit à raconter n'importe quoi.
Il faut surtout écouter la majorité des personnes qui ont été sérieuses, patientes, et non la toute petite minorité qui fait beaucoup de bruit à raconter n'importe quoi.
Il faut surtout écouter la majorité des personnes qui ont été sérieuses, patientes, et non la toute petite minorité qui fait beaucoup de bruit à raconter n'importe quoi.