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«On produit la mort des gens, c’est ça le problème»

La sécurisation des frontières montre ses limites et accentue in fine les risques pris par les migrants, estime la chercheuse Amanda Carolina Da Silva (ULG)

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Journaliste au service Enquêtes Temps de lecture: 4 min

Doctorante et chercheuse en sciences politiques et sociales au Centre d’études de l’ethnicité et des migrations (Cedem) de l’Université de Liège, Amanda Carolina Da Silva a mené une partie de ses recherches sur l’impact de la sécurisation des frontières à Calais. Elle décrit un cercle vicieux : la sécurisation des frontières, en rendant les traversées plus difficiles, nourrit le modèle économique des passeurs, ce qui pousse à davantage de sécurisation, obligeant les migrants à se tourner vers des alternatives plus dangereuses, plus onéreuses.

On parle régulièrement des migrants des environs de Calais depuis maintenant 20 ans. Est-ce que les politiques ont beaucoup changé au fil des ans ?

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