La violence conjugale ne doit pas devenir, aux yeux du tribunal, un conflit parental
La médiation est privilégiée lorsqu’il est question de garde d’enfants. Mais quid des femmes violentées moralement et/ou physiquement par le père de leur(s) enfant(s) ? L’ASBL Question santé a fait le point sur la situation.

L’ASBL Question Santé a sorti, à l’occasion de la journée contre les violences faites aux femmes, une brochure qui interroge : dans certaines situations, notamment en matière familiale, les femmes et les hommes sont-ils vraiment égaux devant les tribunaux ? Comment faire pour que des violences institutionnelles ne s’ajoutent pas à celles déjà connues par beaucoup de mères seules ?

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Ouin ouin les hommes aussi... Un article consacré aux violences conjugales faites aux femmes (ultra majoritairement ) et qui continuent après la séparation de part le dysfonctionnement/la surcharge de la justice et voici 2 hommes qui viennent nous expliquer à quel point c'est dur AUSSI pour les hommes. Je plains mes filles car elles seront encore longtemps confrontées à ces réflexes de défense de la classe dominante.
Discours orienté, qui fait l'impasse sur la violence des femmes en cours de séparation - et des avocates qui n'hésitent pas à conseiller à leurs clientes d'accuser le père de violence morale à leur égard, sinon à celui des enfants - ça existe, mais les salopes menteuses aussi, spécialement parmi les avocates qui n'avalent pas que les pères ont autant de droits que les mères ; ça, c'est le vécu quotidien du tribunal de la famille: le spectacle d'idiotes qui se croient tous les droits. Alors, l'avocat interviewé qui se fait du pognon avec ça : ton métier, tel que tu le pratiques, te déshonnore, et ton discours démontre une incompréhension et inadaptation fondamentales à nos lois et valeurs.
Le ton injurieux de votre commentaire ne plaide pas en faveur d'une approche objective de la problématique. Si vous avez utilisé ce genre de langage devant le tribunal, vous ne pouvez pas vous attendre à une écoute positive.
De nouveau un article anti-homme à sens unique, qui ne nous parle que "des femmes violentées moralement et/ou physiquement " par le père de leurs enfants. La réalité est qu'il y a tout autant d'hommes violentés moralement et/ou physiquement par la mère de leurs enfants. Pourquoi ne pas en parler aussi?