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Benoît Magimel: «Pour incarner un personnage, il faut l’intégrer à son ADN et cette fois, j’ai eu peur»

Il est au cœur du nouveau film d’Emmanuelle Bercot, « De son vivant », en sale depuis mercredi, et pourrait bien décrocher le César du meilleur acteur pour ce rôle bouleversant pour lequel il a perdu 20 kilos.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 9 min

A 47 ans, Benoît Magimel est sans doute l’un des meilleurs acteurs de sa génération. Epatant caméléon, capable de se glisser dans n’importe quel personnage, il n’appartient à aucune famille et se balade dans toutes, faisant croire depuis plus de trente ans qu’il est autant un fils de bonne famille qu’un truand, un agent des forces spéciales ou le copain de la bande des Petits mouchoirs, de Guillaume Canet. A l’affiche de deux films en ce moment, Amants, de Nicole Garcia, et De son vivant, d’Emmanuelle Bercot, il sera dans la prochaine comédie décalée de Quentin Dupieux, Incroyable mais vrai, avec Léa Drucker et Alain Chabat, et n’arrête pas de tourner. Déjà Prix d’interprétation au Festival de Cannes en 2001 pour La Pianiste, de Michael Haneke, et César du meilleur second rôle en 2016 pour La Tête haute, d’Emmanuelle Bercot, il pourrait bien décrocher le César du meilleur acteur pour De son vivant, lors de la 47e cérémonie des César le 25 février prochain.

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