Coronavirus: l’horeca et la nuit dénoncent des «recettes qui ne fonctionnent pas»
Fâchés et dépités par d’énièmes restrictions, restos, bars et boîtes demandent davantage de cohérence et de créativité au monde politique « pour vivre avec le virus ». Et de l’aide pour compenser des pertes à venir en cette fin d’année sans doute peu festive.


Colère, incompréhension, dépit. C’est ce mélange de sentiments qui, suite aux décisions du Comité de concertation de ce vendredi, caractérise les réactions des représentants de l’horeca et du monde de la nuit. Restos, bar et boîtes subissent en effet d’énièmes mesures restrictives depuis le début de la pandémie de covid. Ce sont les discothèques qui souffrent le plus : les voilà refermées sur le champ, 56 jours seulement après leur sortie d’une année et demie de coma.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
Le secteur Horeca et celui de la nuit ont majoritairement fait des efforts significatifs et nous nous devons de les remercier. Ils sont aujourd'hui victimes de l'inconsistance de nos politiques (le coupable relâchement en Flandre) mais aussi - et surtout - de l'incivisme croissant de certains de leurs clients
Sur quelle base scientifique peuvent-ils prétendre que leur secteur est sûr? Qu'ils présentent aussi par la même occasion les évidences scientifiques qui incriminent les véritables secteurs à l'origine de la propagation. Et pas de données du style mon petit doigt l'a dit. LE fait est que ces données n'existent pas. Par dogmatisme idéologique borné de ceux qui à tout prix ont voulu sacraliser notre vie privée et ont donc interdit d'utiliser les données de nos objets connectés. Alors que des firmes commerciales exploitent et s'enrichissent justement gr^ce à l'exploitation de nos données sans que personne n'y trouve à redire.
Et <aux tests>, de même.
<ces tests...> plutôt.
En attendant, une "boite de nuit" n'est pas (et de loin) l'endroit où, le "port correct" d'un masque ou le maintien d'une "distanciation physique" minimale est généralement respectée (euphémisme)... Quant au contrôle du <CST> et à la réalisation de tests antigéniques "rapides" préalables, même s'ils apportent une certaine couche supplémentaire de "sécurité", il faut bien être conscient que cette dernière est loin d'être absolue. Pour rappel, les tests antigéniques, s'ils ont l'avantage d'être "rapides" et de pouvoir détecter efficacement des cas positifs, sont par contre très peu fiables en cas de négativité du test (contrairement aux test qRT-PCR). Ce dernier fait est généralement et largement "passé à la trappe" par ceux qui effectuent ces test...