Coronavirus: le traité pandémie de Charles Michel dépasse les réticences américaines
Les Etats-Unis voulaient éviter que les pays de l’OMS décident d’emblée que le futur traité sur les pandémies soit un instrument contraignant. Ils ont changé leur fusil d’épaule juste avant l’ouverture de l’Assemblée mondiale de la santé, cette semaine.


Il était moins une, dimanche, à la veille de l’ouverture de la session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la Santé où doit être validé le mandat de négociation sur un traité international sur les pandémies, une idée lancée par Charles Michel, président du Conseil européen. Les Etats-Unis se sont finalement fait à l’idée que le mandat de négociation précisera d’entrée de jeu que l’outil pourra bien être juridiquement contraignant.

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