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L’intérim d’un jour explose, à peine freiné par la crise sanitaire

Les syndicats veulent encadrer davantage cette forme de flexibilité. Le point va être débattu au sein d’une commission du Conseil National du Travail, à partir de ce lundi.

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Journaliste au service Politique Temps de lecture: 3 min

Un sur quatre. Dans le secteur de l’intérim, les contrats journaliers successifs représentent environ 25 % des contrats d’intérim. Une situation que dénoncent les syndicats en front commun. Et qu’ils veulent davantage réguler. Le point revient d’ailleurs à l’ordre du jour d’une commission du Conseil National du Travail (CNT), ce lundi.

Il faut d’abord comprendre ce qu’est un contrat journalier. Il s’agit d’un contrat de travail renouvelé quotidiennement. En commençant sa journée de travail, le travailleur ne sait donc pas formellement s’il reviendra le lendemain. Cette forme d’intérim vise à répondre aux besoins des secteurs connaissant une activité fluctuante, avec un besoin rapide et ponctuel d’une main-d’œuvre supplémentaire. Et quand une personne signe plusieurs contrats d’affilée d’une journée chez le même employeur, on parle alors de contrat journalier successif (CJS).

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