Accueil Culture Cinéma

Charlotte Gainsbourg: «Jeune, je n’étais pas assez Lolita pour être inquiétée par des mecs»

A l’affiche du film d’Yvan Attal, « Les choses humaines », dès ce mercredi, Charlotte Gainsbourg revendique le droit à la nuance, à la parole des bourreaux et la nécessité du processus judiciaire.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Culture Temps de lecture: 10 min

L’affaire Nicolas Hulot n’est pas encore revenue en force dans l’actualité quand nous rencontrons Charlotte Gainsbourg à Paris pour parler du film de son mari, Yvan Attal, Les choses humaines, d’après le roman de Karine Tuil (Prix Interallié et Goncourt des lycéens 2019) qui évoque la question du consentement et des zones grises. Elle y incarne une éditorialiste féministe très en vue dont le fils, joué par son propre fils Ben, est accusé de viol. Pour Charlotte Gainsbourg, après la radicalité nécessaire des mouvements féministes, il est temps de revenir à la nuance et à la justice car « toutes les paroles sont valables ».

Quelle a été votre toute première réaction en lisant ce scénario ?

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Cinéma

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs