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Guillaume Vierset: «J’ai une espèce de rage en moi»

Guillaume Vierset est un guitariste des frontières. Son jazz se mâtine de country, sa pop se mâtine de jazz. Et le voilà, avec « The end of the fucking world », entre jazz et rock.

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Responsable des "Livres du Soir" Temps de lecture: 4 min

Dès le premier morceau de l’EP 4 titres que Guillaume Vierset vient de sortir, on est happé par un riff brutal, écorché, rageur. C’est le côté rock rebelle du guitariste belge de 34 ans. Comme un caméléon, il joue des couleurs. Très jazz bop avec LG Jazz Collective, très pop avec Typh Barrow, Sacha Toorop, Sharko, très country avec son groupe Harvest, le voilà maintenant dans le jazz rock progressif avec son groupe Edges. Dans lequel il a convié l’Américain de Berlin Jim Black à la batterie, le Danois Anders Christensen à la basse et le Français de Bruxelles Dorian Dumont aux claviers. Guillaume, lui, joue de ses guitares, deux Haar, d’un luthier hollandais. « Elles pétillent », dit-il. Elles sont munies d’un vibrato Bigsby : « Je l’utilise beaucoup pour changer la tonalité. Je tire toutes les possibilités de ces instruments. En utilisant de moins en moins d’effets. »

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