Coronavirus: la SNCB supprime une centaine de trains et adapte son offre
L’entreprise ferroviaire doit faire face à des cas de covid parmi son personnel.

La SNCB est à nouveau forcée de supprimer des trains à cause des infections au sein de son personnel, quelques jours après avoir annoncé la suppression d’une dizaine de trains P de longue distance à destination et en provenance de Bruxelles.
« Temporairement, l’offre de trains ne pourra pas être maximale car le personnel de la SNCB, au même titre que l’ensemble de la population, est touché par la pandémie actuelle », peut-on lire dans un communiqué de presse.
Une centaine de trains (sur 3.800) ne pourront rouler à partir de ce lundi 6 décembre.
« La SNCB souhaite limiter au maximum les désagréments pour ses voyageurs en adaptant temporairement son offre et ainsi éviter que, chaque jour, des trains ne doivent être supprimés de manière imprévue. »
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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir7 Commentaires
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Posté par HAULOTTE Emmanuel, vendredi 3 décembre 2021, 7:01
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Posté par Detez Olivier, jeudi 2 décembre 2021, 15:15
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Posté par Bastin Eric, jeudi 2 décembre 2021, 12:53
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Posté par Cantigneaux Marie-Jeanne, jeudi 2 décembre 2021, 13:57
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Posté par Brunet Maxime, jeudi 2 décembre 2021, 12:27
Plus de commentairesUne fois de plus la SNCB n assume pas sa mission Public. Après la semaine passée la suppression de certains trains P de et vers Bruxelles, mais essentiellement sur la partie francophone. Celle-ci remet le couvert en annonçant de nouvelle suppression. Mais ce qu elle avait déjà omis de signaler, la fermeture et l acces de certains wagons de ces trains. Exemple le train de 6h45 a Braine.le.comte vers Bruxelles sur les 9 wagons, seul 5 sont accessibles aux voyageurs dont 1 de première classe. Rien de tel pour entasser les passager et augmenter la contamination. Merci la sncb
Cela pose quand même question à l'heure où on préconise un renforcement des gestes barrières. Etant navetteur régulier je constate au quotidien que : 1) les distances entre voyageurs ne peuvent pas souvent être respectées vu la fréquentation actuelle aux heures de pointes, la réduction fréquente du nombre de voitures et le refus de déclasser les premières classes qui représentent pourtant 1/3 du convoi! (2 voitures sur 6 ou 3 sur 9) 2) Des voyageurs ne portent pas le masque ou alors sous le nez , et même quand un contrôleur fait la remarque, dès qu'il a le dos tourné les masques tombent. Je constate que la réintroduction du télétravail a jusqu'ici eu peu d'impact au niveau de la fréquentation (max 10 à 15 % de voyageurs en moins sur ma ligne), car entre fonctions non compatibles avec le télétravail, écoliers/étudiants/professeurs, voyageurs internationaux qui rallient les aéroports, demandeurs d'asiles qui font la navette de leur centre d'hébergement vers Bruxelles, il y a largement de quoi remplir les places disponibles sans respecter la distanciation, alors si l'offre se réduit encore...
Ceci devrait être contrôlé minutieusement par l'autorité de tutelle afin d'exclure toute réduction opportuniste de l'offre pour faire des économies. La SNCB avait déjà réduit (ou voulu réduire) l'offre en prétextant le télétravail des navetteurs. Là aussi, cela pose question, car moins de trains signifie plus de promiscuité.
Je me pose la même question.
La SNCB adapte son offre ! Surement pas à la demande ! Franchement et les escrolos qui veulent qu'on abandonne notre voiture, notre liberté pour ce système archaïque !!!