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Le clown: le roseau qui ploie et la sangsue qui s’accroche

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Le sixième jour, Dieu créa le Clown. Le septième jour, il dut se reposer tellement il riait encore ! » Ce mot de Jean-Paul Farré dans Le Clown – Cinquante-cinq dialogues au carré, en 2002, est le plus pertinent (et le plus drôle) pour parler de ce mot de cinq lettres C, L, O, W, N. « Cinq lettres magiques, quatre consonnes pour encadrer une voyelle aussi ronde qu’un nez d’auguste, cinq lettres pour construire un petit mot gorgé de sens, de couleurs et de souvenirs… », écrit Pascal Jacob, auteur de cette histoire des clowns et de tous ceux qui ont, un jour, décidé d’enchanter le monde. « Le prononcer c’est déjà suggérer quelque chose d’unique et de décalé, de festif et d’inquiétant, de joyeux et de symbolique. »

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