Procès des attentats de Paris: «Il ne faut pas cracher sur la totalité de l’enquête belge»
Après un démarrage très tendu, l’audition des policiers anti-terroristes belges se poursuit devant la cour d’assises. Même s’il estime que les dépositions se sont améliorées, le président de l’association Life for Paris reste amer.


Arthur Dénouveaux était au Bataclan le soir du 13 novembre 2015. Président de l’association de victimes Life for Paris, il dit son amertume devant l’audition des policiers belges devant la cour d’assises spécialement composée qui juge vingt accusés. Même si, dit-il, toute leur enquête n’est pas à discréditer.
Quel sentiment domine à l’audition des enquêteurs belges ?
Au début, c’était une forme de honte, un dégoût. Entendre ces policiers faire aussi peu d’efforts pour faire jaillir la vérité ! C’était un festival de fuite pour ne pas mettre l’enquête belge en difficulté. Cette défausse n’a fait qu’attirer encore plus l’attention sur un certain nombre d’erreurs qui étaient déjà connues. Les auditions se sont heureusement améliorées depuis.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire