Bruxelles: Rudi Vervoort, l’homme placide
Les coups pleuvent sur lui, mais le ministre-président bruxellois ne les rend pas. Trop de discrétion, manque de leadership, jugent ses détracteurs. Lui plaide les vertus du calme et de la loyauté.


Est-ce que vous allez partir avant la fin de votre mandat, en 2024 ? » La pluie tombe toujours, le soir est tombé. Près de deux heures que Rudi Vervoort évoque le dossier des taxis qui malmène son gouvernement. Une dernière question…
« Non ». La réponse a fusé.
« Est-ce que vous serez sur la liste régionale ? »
« Mon intention est d’être candidat. »
« En tête ? »
« Rien ne m’empêche, aujourd’hui, de le dire, mais deux ans c’est encore long. On y verra clair à l’automne 2023. »

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir5 Commentaires
Loyauté et Vervoot dans la même phrase...excuse-moi, je vais gerber.
Loyauté et Vervoot dans la même phrase...excuse-moi, je vais gerber.
"Non": c'est bien l'unique chose qui fuse de sa personne.
ce personnage abject porte une lourde responsabilité pour toutes les misères qui accablent cette pauvre ville. Mais il est trop cynique et opportuniste pour se déboulonner de sa chaise et passer la main à quelqu'un de compétent. Et les bruxellois trop cons pour lui donner finalement son C4 et le faire dégager
@zay sergio. Je suis entièrement d'accord avec ce que vous avez écrit sur ce personnage imbu de sa personne. Mais Bruxelles c'est comme la Wallonie, rouge, rouge, rouge et ça ne changera jamais je pense.