Coronavirus: les contaminations et les admissions à l’hôpital semblent avoir atteint leur pic

Le nombre de nouvelles contaminations et d’admissions à l’hôpital n’augmentent que légèrement, respectivement de 4 et 2% sur une base hebdomadaire. Les derniers chiffres du covid en Belgique.

Par la rédaction

Publié le 4/12/2021 à 08:00 Temps de lecture: 2 min

Les derniers chiffres de l’Institut de santé publique Sciensano publiés samedi matin semblent confirmer ce que le virologue Steven Van Gucht avait déclaré vendredi au sujet de la quatrième vague: «le pic a été atteint». À lire aussi Coronavirus: les chiffres laissent entrevoir un pic… mais les mesures se durcissent

Entre le 27 novembre et le 3 décembre, il y a eu en moyenne 313,4 admissions à l’hôpital par jour pour cause de coronavirus, soit une hausse de 2% par rapport à la période de référence précédente. Au total, 3.604 personnes sont hospitalisées en Belgique en raison du Covid-19, dont 803 patients traités en soins intensifs.

Entre le 24 et le 30 novembre, 17.823 nouvelles contaminations au Sars-CoV-2 ont été dépistées en moyenne par jour (+4% par rapport à la semaine précédente). Là aussi, le pic semble avoir été atteint. Depuis le début de la pandémie en Belgique, plus de 1,8 million de cas d’infection au coronavirus ont été diagnostiqués.

Sur la période étudiée, 47,1 personnes sont décédées par jour en moyenne des suites du virus (+27%), portant le bilan à 27.167 morts depuis le début de la crise sanitaire en Belgique.

Quelque 120.000 tests en moyenne ont également été effectués quotidiennement, pour un taux de positivité de 16,3%.

Le taux de reproduction du virus est désormais de 1,00 (-9%). Lorsqu’il est supérieur à 1, cet indicateur signifie que l’épidémie tend à s’accélérer.

L’incidence, qui renseigne le nombre de nouveaux cas pour 100.000 habitants, atteint 2.127,0 sur 14 jours.

10 Commentaires

Posté par Claude , samedi 4 décembre 2021, 14:41

ET le variant Omicron n'a pas encore sévi dans nos contrées... patience avant d'arriver à la 6e vague qui en achèvera plus d'un.

Posté par Vilain Pierre, samedi 4 décembre 2021, 12:06

Dans vos statistiques "Covid", vous renseignez le nombre et le pourcentage de personnes totalement vaccinées. Je supposes qu'il s'agit des personnes ayant reçu 2 doses (une pour J & J) de vaccin. Ne serait-il pas intéressant de communiquer aussi le nb et le % de personnes "boostées"), ayant donc reçu une 3e dose (une 2e pour J & J)?

Posté par massacry olivier, samedi 4 décembre 2021, 21:51

Site de Sciensano, plus de 1.8 Mio de personnes ont reçu la dose de rappel.

Posté par Raspe Eric, samedi 4 décembre 2021, 11:56

Surtout éviter l'euphorie. La quantification de la présence du matériel génétique du virus dans les eaux usées, un bon indicateur de la charge virale dans la population, repart à la hausse après avoir atteint un pic le 12 novembre (https://datastudio.google.com/embed/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/p_ggbfgsqtmc). Le virus recommence à circuler plus fortement. Ce matin, j'ai été chercher ma commande de sujets de Saint-Nicolas en chocolat. La moitié des clients croisés portaient mal le masque (pas de masque sur les narines). J'ai donc croisé des spécimens d'imbéciles finis doublés d'hypocrites de première classe. Avec des gens pareils on n'est pas sorti de l'auberge. C'est le virus qui se frotte les mains.

Posté par collin liliane, samedi 4 décembre 2021, 14:47

@ Peeters ''C'est qui l'imbécile?" Vous, sans le moindre doute. Un pauvre type qui prend ses infos sur France Soir et FB et a peur de tout, des masques, des vaccins... et pas du virus. Et qui n'est même pas foutu de lire jusqu'au bout un article qu'il recommande "Dans son avis de juillet 2021 sur les nanoparticules présentes dans les masques buccaux, le Conseil supérieur de la santé affirme que le risque éventuel pour la santé lié à l’utilisation de masques buccaux ne l’emporte pas sur l’avantage de leur utilisation pour prévenir une infection COVID-19. Les résultats actuels de l’étude ne font pas apparaître d’éléments aigus venant contredire cet avis".

Posté par Claude , samedi 4 décembre 2021, 14:41

ET le variant Omicron n'a pas encore sévi dans nos contrées... patience avant d'arriver à la 6e vague qui en achèvera plus d'un.
Posté par Vilain Pierre, samedi 4 décembre 2021, 12:06

Dans vos statistiques "Covid", vous renseignez le nombre et le pourcentage de personnes totalement vaccinées. Je supposes qu'il s'agit des personnes ayant reçu 2 doses (une pour J & J) de vaccin. Ne serait-il pas intéressant de communiquer aussi le nb et le % de personnes "boostées"), ayant donc reçu une 3e dose (une 2e pour J & J)?
Posté par massacry olivier, samedi 4 décembre 2021, 21:51

Site de Sciensano, plus de 1.8 Mio de personnes ont reçu la dose de rappel.
Posté par Raspe Eric, samedi 4 décembre 2021, 11:56

Surtout éviter l'euphorie. La quantification de la présence du matériel génétique du virus dans les eaux usées, un bon indicateur de la charge virale dans la population, repart à la hausse après avoir atteint un pic le 12 novembre (https://datastudio.google.com/embed/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/p_ggbfgsqtmc). Le virus recommence à circuler plus fortement. Ce matin, j'ai été chercher ma commande de sujets de Saint-Nicolas en chocolat. La moitié des clients croisés portaient mal le masque (pas de masque sur les narines). J'ai donc croisé des spécimens d'imbéciles finis doublés d'hypocrites de première classe. Avec des gens pareils on n'est pas sorti de l'auberge. C'est le virus qui se frotte les mains.
Posté par collin liliane, samedi 4 décembre 2021, 14:47

@ Peeters ''C'est qui l'imbécile?" Vous, sans le moindre doute. Un pauvre type qui prend ses infos sur France Soir et FB et a peur de tout, des masques, des vaccins... et pas du virus. Et qui n'est même pas foutu de lire jusqu'au bout un article qu'il recommande "Dans son avis de juillet 2021 sur les nanoparticules présentes dans les masques buccaux, le Conseil supérieur de la santé affirme que le risque éventuel pour la santé lié à l’utilisation de masques buccaux ne l’emporte pas sur l’avantage de leur utilisation pour prévenir une infection COVID-19. Les résultats actuels de l’étude ne font pas apparaître d’éléments aigus venant contredire cet avis".