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«Le Jardin» aux Tanneurs: entre la blague et le sacré

Le collectif Greta Koetz livre un nouveau spectacle inclassable mêlant humour déjanté, références multiples, désenchantement profond et moments de grâce.

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Chef adjoint au service Culture Temps de lecture: 3 min

Dans un jardin aux allures de terrain vague, on prépare le retour au bercail de Marie. Il y a là ses frères, Antoine, l’aîné (Antoine Herbulot), et Fritz, le gamin (Léa Romagny), ainsi que Nicolas l’ami de toujours qui lui écrivait de (trop) longs poèmes, se rêvait écrivain et est devenu prof de musique (Nicolas Payet). C’est à ce titre qu’il rappelle au jeune Fritz le sens de leur répétition : « Bon, on essaie d’être à un endroit indécidable, entre la blague et le sacré, et on voit si on arrive à toucher quelque chose. » Et les deux de se lancer dans une étonnante version du Curé de Camaret, chanson paillarde par excellence.

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