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Bombes belges en Irak: l’armée trop muette?

Un petit groupe de journalistes basés à Londres et Bagdad souligne la relative opacité des comptes rendus militaires belges.

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Grand reporter Temps de lecture: 3 min

La Belgique limite-t-elle trop sévèrement la diffusion d’informations relatives aux bombardements opérés par ses chasseurs en zone de guerre ? C’est le principal grief que formule un rapport réalisé en ce mois d’août par airwars.org, un petit groupe de journalistes et chercheurs basés à Londres et Bagdad. Ce groupe tente d’accroître la transparence des opérations de guerre menées en Irak et Syrie par la coalition arabo-occidentale contre Daesh.

En comparant la manière dont les armées des douze Etats coalisés communiquent, ils remarquent que seul le Canada rend publiques la date et la localisation de chacun des bombardements auxquels il participe. La Belgique ne donne jamais ces informations – ni lieux ni dates – et ne tient pas de briefing régulier, une pratique partagée par la majorité des Etats impliqués. Airwars.org demande à la Belgique une plus grande transparence.

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