Jean Rustin, la caresse de la peinture
Le Salon d’art propose un parcours dans l’œuvre singulière de Jean Rustin qui ne cessa de peindre des corps vieillis et solitaires avec un mélange de lucidité et de tendresse.

Jean Rustin né en 1928 près de Metz et mort à Paris en 2013 a peint les hommes et les femmes rattrapés par l’âge, fragiles, souvent nus, tels qu’il les a entrevus dans les hôpitaux psychiatriques que dirigeait son épouse Elsa. Dérangeants ? Oui, sans doute, tant la transparence de leur comportement, leur sexualité solitaire, la frontalité directe du point de vue du peintre ne cachent rien de la fatigue et du désarroi des corps exposés. Quête picturale difficile, délicate, souvent décriée pour sa lucidité sans fard, elle a donné naissance à de très beaux tableaux et dessins peu exposés en France, parfois bêtement jugés voyeuristes.

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