Le MR crée une nouvelle procédure de concertation pour éviter les disputes publiques
Une « affaire Crucke » ? Quelle affaire ? Les libéraux s’accordent sur une procédure de concertation entre la présidence, les ministres et les parlementaires sur les dossiers sensibles. Et minimisent l’épisode. Circulez.


Après l’affaire Crucke, certains libéraux annonçaient des réunions internes tendues, lundi matin au MR. Et le député Denis Ducarme lançait effectivement le débat dès potron-minet sur DH Radio. Il déclarait avoir « un peu mal à mon parti après les tensions de ces derniers jours » et les attaques contre Jean-Luc Crucke, accusé d’être « moins libéral que les autres ». Il concluait, le regard tourné vers Georges-Louis Bouchez : « Je pense qu’en tant que président de parti, il a un rôle. Il a même un rôle difficile, mais un rôle qui doit rassembler plutôt que de se retrouver avec de telles situations sur la place publique. »

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir16 Commentaires
La transparence est toujours la meilleur manière, même avec des dispute, cela fait partie de la gestion d'un parti, rien de mal à avoir des avis divergents, c'est la force d'un parti, quand tout le monde reste dans le rang, c'est mauvais signe.
La particratie dans ce qu'elle a de plus abject!
11 belles mères, puis une nouvelle procédure. Le problème n'est-il pas plutôt dans le casting?
Pour un parti au gouvernement fédéral et en région Wallonne, progresser de 2% dans les intentions de vote, ce n'est pas si mal. Faudrait peut-être arrêter de critiquer un président de parti qui obtient un tel résultat.
Tous les moyens sont donc bons ? Passer par des aboiements, des clivages, faire finalement le clown sur les réseaux sociaux pour gagner 2% c'est la bonne stratégie ? Décidément, on a effectivement les politiciens qu'on mérite. Que vous méritez en tout cas.