Les dirigeants du «Partenariat oriental» de l’UE en quête de soutien à Bruxelles
Les six du partenariat ne sont plus que cinq, depuis que Minsk a déserté. Mais l’UE cherche toujours à arrimer les trois les plus europhiles du groupe : Ukraine, Géorgie, Moldavie. Sommet à Bruxelles ce mercredi.


C’est dans le contexte hyper-tendu des bruits de bottes à la frontière entre la Russie et l’Ukraine, que les leaders Européens reçoivent ce mercredi à Bruxelles les dirigeants des pays du « partenariat oriental » de l’UE. Dont le président ukrainien, son homologue moldave et le Premier ministre géorgien : trois des six pays de ce partenariat, « stratégique » mais malmené par le Kremlin, ont conclu en 2014 un accord d’association politique avec l’UE, couplé à un accord de libre-échange approfondi. Ils aspirent, à terme, à adhérer à l’UE. Ce que l’UE « reconnaît » – sans autre promesse. Deux autres, l’Azerbaïdjan et l’Arménie sont en conflit et n’ont pas franchi ce pas, tandis que le dernier, la Biélorussie, a carrément suspendu sa participation depuis que l’UE soutient les aspirations démocratiques de la population face au dictateur Loukachenko, que le Kremlin maintient dans son giron.

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