«De toute façon, avec Martinez, les Diables ne gagneront jamais rien»

Tonton Gérard, c’est un peu plus compliqué que ça.
Avec Roberto Martinez, les Diables ont fait montre d’un niveau jamais atteint auparavant. Rappelle-toi, l’énorme bond en avant fait par notre équipe nationale après l’Euro 2016, à l’issue duquel les lacunes de Marc Wilmots en tant que coach se sont avérées criantes. Etre un bon manager est une chose, mais être un bon entraîneur n’est pas à la portée de tous.
« Dans n’importe quel club, un entraîneur qui n’atteint pas ses objectifs prend la porte ! » Tu n’as pas tort, surtout après autant d’années. Mais mener les Diables à la troisième place de la Coupe du monde 2018, était-ce vraiment un échec ? Avec le recul, forcément le regard que nous portions sur Saint-Pétersbourg a aujourd’hui changé. Une troisième place à Doha dans un an ne suffira pas à rassembler le peuple sur la Grand-Place de Bruxelles, et c’est bien normal. Car, comme les joueurs et leur entraîneur, les supporters sont ambitieux.

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