Jeunesse: «Ensemble», demain sera meilleur
Dans un roman graphique d’une incroyable intensité, Luke Adam Hawker digère la pandémie, sans jamais dire son nom.

Des nuages menaçants et leur ombre grignotant minutieusement la ville, un ciel noir qui pèse « de tout son poids » sur nos épaules, une pluie qui s’éternise : en quelques croquis, Luke Adam Hawker accomplit une métaphore puissante, évoquant cette pandémie, qui continue de bouleverser nos vies, sans jamais dire son nom.
Pendant le confinement, en 2020, l’artiste anglais a commencé à déposer, dans son carnet de dessin, des esquisses par lesquelles donner un début de sens à ce que nous vivions. Une sorte de psychanalyse où, au lieu de s’allonger sur un canapé, il couchait de l’encre de Chine sur du papier. Lui qui fut architecte dans une première vie, avant de devenir illustrateur, s’est mis à croquer sa ville, Londres, sous le coup de cette tempête inédite qui balayait soudain nos habitudes, charriant dans ses bourrasques son lot d’incertitudes et de traumatismes sociaux.

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