Sabine Weiss, le dernier témoin
« Je ne suis pas une artiste, je suis témoin de ce que je vois », répétait-elle. La dernière des photographes humanistes, contemporaine de Doisneau et de Boubat, est décédée ce mardi à 97 ans.


Françoise Sagan couchée sur la moquette devant sa machine à écrire en 1958. André Breton dans ce cabinet de curiosité qu’était son atelier à Paris en 1955. Une fille en rose chez Dior, avenue Montaigne en 1958. Et puis la rue, la rue, la rue et encore la rue. En noir et blanc, façon Robert Doisneau qui était comme elle, un photographe humaniste, c’est-à-dire, si simplement, quelqu’un qui s’intéresse à l’humain. L’humain banal, l’humain de base, l’humain tout court dans sa vie de tous les jours.

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