Festival de Cannes: notre palmarès décalé
En attendant le verdict de George Miller et son jury, voici un petit exercice de palmes décalées.

A jour J-1 du palmarès cannois s’impose toujours le petit jeu des pronostics. Cette année, peu s’y aventurent tant les films de la compétition ont soufflé le chaud et le froid mais sans jamais provoquer un gros coup de cœur ou une cinglante polémique même si Sean Penn avec « The last face » s’est pris une volée de bois vert. Mais en définitive, le sentiment qui persiste est que ce fut plutôt lisse tout ça mais à l’intérieur, on a vu de très belles choses. En attendant le verdict de George Miller et son jury, voici un petit exercice de palmes décalées.
Palme d’or décoincée : « Toni Erdmann », de Maren Ade (qui fut la révélation de cette compétition)
Palme d’or studieuse : « Baccalauréat », de Cristian Mungiu (qui rejoindra ainsi le cercle fermé des doubles plamés)

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire