Sylvie Lausberg: «C’est la parole qui fait bouger le monde»
La psychanalyste, aussi directrice Etude & Stratégie du Centre d’action laïque, nous enjoint de rester en mouvement, par la parole et l’engagement, pour sortir du fatalisme ambiant.


L’optimisme, c’est vouloir investir dans l’être humain et croire en ses capacités de se mouvoir, nous explique l’historienne et féministe Sylvie Lausberg. Celle qui se définit comme une grande angoissée, devenue psychanalyste, voit dans la parole de l’analysant une mise en mouvement et un questionnement permanent vers une émancipation, qui rejoint le mode de vie prôné par la laïcité.
Est-ce que l’engagement et le militantisme rendent heureux ? Ou ne vaut-il mieux pas parfois se protéger du monde tel qu’il est depuis deux ans ?

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
"La laïcité se base sur un mode de vie qui est dégagé de l’immanence, de la croyance dans l’au-delà." Ah bon ? Elle ne confond pas avec l'athéisme, là ? La laïcité c'est un mode d'organisation sociale qui opère une séparation entre l'organisation politique ("l'Etat") et les convictions religieuses ("les Eglises"), ce n'est certainement pas un "mode de vie" basé sur des convictions particulières.