«Qui a tué mon père»: ne pas détourner les yeux de la violence sociale
A l’instar de Stanislas Nordey et Thomas Ostermeier en France, ou encore Ivo Van Hove en Belgique, Julien Rombaux met en scène « Qui a tué mon père », brûlot d’Edouard Louis sur le mépris de classe.

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our les dominants, le plus souvent, la politique est une question esthétique : une manière de se penser, une manière de voir le monde, de construire sa personne. Pour nous, c’était vivre ou mourir, écrit Edouard Louis dans

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