Nils Landgren, «Nature Boy»


Ce qui touche dans cet album, c’est d’abord le son. Le trombone de Nils Landgren prend de l’espace et joue avec la réverbération naturelle de l’église proche de chez lui, à Skillinge, au nord de la Suède, pendant le confinement. Une sonorité mystérieuse et belle. Ce qui touche ensuite, c’est la manière. Nils Landgren reprend des traditionnels suédois et allemands, le Nature Boy chanté par Nat King Cole et deux morceaux de Duke Ellington, In a sentimental mood et Solitude. Doux, lyrique, serein. Magnifique.
Act

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