Ce que les manuscrits anciens disent des rois mages
Les rois astronomes font un passage éclair dans le Nouveau Testament, mais leur périple est raconté avec bien plus de détails dans de vieux manuscrits syriaques peu traduits qui témoignent du christianisme en Orient.

Nous croyons les connaître. Nous avons vu Gaspard, Melchior et Balthazar sur d’innombrables tableaux. Ce sont des figures incontournables de la crèche et nous célébrons leur fête le 6 janvier par une orgie de galettes à la frangipane. Et pourtant… Sur les quatre Evangiles conservés dans le Nouveau Testament, seul Matthieu (II, 1-12) évoque brièvement leur visite chez Hérode et leur arrivée à Bethléem. Le texte ne nous en dit pas beaucoup plus sur ces « mages venus d’Orient » pour saluer le petit roi qui vient de naître. L’Evangile ne précise pas le nombre de ces visiteurs, il n’affirme pas qu’ils sont rois et ne donne pas leurs noms. Matthieu ne développe pas davantage cette histoire d’étoile mystérieuse, et évoque juste ces trois cadeaux, « de l’or, de l’encens et de la myrrhe », que les Orientaux déposent avant de repartir chez eux.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
ironique que nos croyances viennent des iraniens qui sont vilipendes par nos fanatiques évangélistes américains et autres :-)