Accueil Culture Cinéma

Nabil Ayouch à propos de «Haut et fort»: «Le centre, c’est une bouée de sauvetage»

Nabil Ayouch signe une comédie musicale pleine d’énergie positive, qui dit haut et fort la jeunesse marocaine.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Culture Temps de lecture: 5 min

Les petits princes de la rue, les prostituées, les radicalisés, les homosexuels… Né en France mais ayant fait le choix de revenir au Maroc pour y faire son cinéma, Nabil Ayouch cerne la société marocaine sans complaisance et sous tous ses aspects, même ceux qui fâchent ou dérangent. Avec Haut et fort, son huitième long-métrage, ce sont les centres culturels, lieux d’expression et de transmission, qu’il défend.

Il y a vingt ans, vous réalisiez « Ali Zaoua », histoire d’un gamin des rues qui rêvait de quitter le Maroc. Quel est le rêve de la jeunesse aujourd’hui ?

Ça dépend de quelle jeunesse on parle. Si c’est une jeunesse abandonnée, son rêve est toujours de partir. Si c’est une jeunesse qu’on arrive à raccorder au reste de la société soit économiquement soit culturellement, elle a envie de rester.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Cinéma

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs