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«Don’t look up»: la parodie cosmique qui chatouille les neurones

Adam McKay a réuni une brochette d’étoiles hollywoodiennes pour entraîner la Terre vers une catastrophe cosmique. Avec une comète qui figure le changement climatique, sa pochade tape juste et fort, sans épargner qui que ce soit. Les climatologues se voient dedans…

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 11 min

Tous les films catastrophe commencent par un gouvernement qui méprise les alertes des scientifiques ». Ce slogan que n’ignore aucune manif pour le climat digne de ce nom, Peter Gleick l’a épinglé en tête de son compte Twitter. Ce scientifique renommé issu de Berkeley, spécialiste en hydroclimatologie, est un des fervents partisans de Don’t look up, le dernier-né du réalisateur américain Adam McKay. Sorti le 24 décembre, le film cartonne actuellement sur Netflix et dans quelques salles de cinéma ; totalisant plus de 260 millions d’heures vues en deux semaines, il est déjà nommé pour plusieurs prix, dont les Golden Globes 2022, qui seront décernés le 9 janvier.

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17 Commentaires

  • Posté par DUHARD Jerome, lundi 10 janvier 2022, 13:51

    Une parodie "cosmique". Késaco?

  • Posté par Usual Suspect, lundi 10 janvier 2022, 16:49

    Je de maux

  • Posté par André Weissenberg, dimanche 9 janvier 2022, 14:02

    Le climatiste en chef du SOIR a encore frappé, avec sa petite "PRAVDA" habituelle. Petite question au passage: il sévit sans aucun doute dans la rubrique "société" pcq il est persona non grata dans la rubrique "science"? "Aujourd’hui, c’est déjà difficile dans certains endroits. En région liégeoise, 2050, c’était [les inondations] le 14 juillet 2021". Que nenni mon cher! Il a été démontré que la dernière occurrence du même phénomène de crue d'une telle ampleur dans la région avait été dûment enregistrée et remontait à 1806. La grosse différence avec 1806, en termes de conséquences catastrophiques, provient de la densification du bâti, qui a notamment envahi les zones inondables, et des conséquences de l'impéritie des autorités publiques (absence de prise en compte de l'expérience des occurrences passées, absence d'entretien, absence d'alerte, mauvaise gestion des voies hydrauliques et des barrages, mauvaise définition des zones inondables). Le reste de l'article est au diapason ...

  • Posté par DUHARD Jerome, lundi 10 janvier 2022, 13:53

    "PRAVDA" , ça ne veut pas die " vérité" en russe? Vous reconnaissez donc que l'auteur dit la vérité ?

  • Posté par Usual Suspect, dimanche 9 janvier 2022, 19:07

    André Weissenberg, je ne crois pas que quiconque pense que seules les inondations de juillet prouvent le réchauffement climatique mais que c'est l'ensemble des phénomènes climatiques sur l'ensemble de la planète sur un bref laps de temps à l'échelle cosmique qui amènent à s'inquiéter.

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