Proche-Orient: des colonies pour verrouiller Jérusalem

Des milliers de logements, au nord, au sud, à l’est : depuis cet automne, les annonces de construction de colonies se multiplient à Jérusalem. Parfois maintenus, parfois enterrés, ces projets montrent que le nouveau gouvernement prolonge la politique de colonisation de Netanyahou… à sa façon.

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L'ancien aéroport Atarot près de Qalandia en Cisjordanie occupée où Israël envisage de construire une colonie qu'il désignerait comme un nouveau quartier de Jérusalem.

Par Samuel Forey

Publié le 5/01/2022 à 21:52 Temps de lecture: 5 min

Certains espaces ne semblent pas appartenir au présent. L’ancien aéroport d’Atarot est balayé par un vent si puissant qu’il courbe les quelques pins qui s’aventurent à pousser. Par-delà les champs d’herbes folles survit encore le terminal, dont les restes des tableaux de commandes veillent encore, couverts de poussière, dans la pénombre.

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3 Commentaires

Posté par Patrick Yamedjeu, jeudi 13 janvier 2022, 19:49

Normal. Ce pays peut faire ce qu’il veut. Un seul commentaire déplacé à son égard et vous êtes taxés d’anti tout. Pourtant qui sème le vent récolte la tempête tôt ou tard.

Posté par Guiot Philippe, samedi 8 janvier 2022, 19:30

Un mauvais accord vaut toujours mieux qu'une bonne guerre ! La seule à faire, c'est avoir la volonté d'en terminer et s'asseoir autour d'une table pour en discuter franchement et surtout honnêtement

Posté par DENIS JEAN, jeudi 6 janvier 2022, 14:54

le besoin d'"espace vital"? c'est pas nouveau et ça s'est assez mal terminé: malgré ça on (c'est-à-dire "la communauté internationale des démocraties!") a quand même gardé l'habitude du baisser de pantalon. Le discours des valeurs n' a jamais été aussi vide de sens. Comme pour le climat, le bla bla l'emporte sur l'action et l'Histoire se répète inlassablement.

Posté par Patrick Yamedjeu, jeudi 13 janvier 2022, 19:49

Normal. Ce pays peut faire ce qu’il veut. Un seul commentaire déplacé à son égard et vous êtes taxés d’anti tout. Pourtant qui sème le vent récolte la tempête tôt ou tard.
Posté par Guiot Philippe, samedi 8 janvier 2022, 19:30

Un mauvais accord vaut toujours mieux qu'une bonne guerre ! La seule à faire, c'est avoir la volonté d'en terminer et s'asseoir autour d'une table pour en discuter franchement et surtout honnêtement
Posté par DENIS JEAN, jeudi 6 janvier 2022, 14:54

le besoin d'"espace vital"? c'est pas nouveau et ça s'est assez mal terminé: malgré ça on (c'est-à-dire "la communauté internationale des démocraties!") a quand même gardé l'habitude du baisser de pantalon. Le discours des valeurs n' a jamais été aussi vide de sens. Comme pour le climat, le bla bla l'emporte sur l'action et l'Histoire se répète inlassablement.