Thomas Gunzig: «J’essaie toujours de surprendre, d’intriguer»
Avec « Le sang des bêtes », Thomas Gunzig n’a pas perdu le sens de la dérision et de l’ironie envers la société. Mais avec lui, pas de ronron : il nous étonne et nous emballe chaque fois.
Lisez le premier chapitre.


Thomas Gunzig possède une voix unique en littérature française. Celle d’un « fauve littéraire aux gestes féroces et déroutants », commente Hervé Le Tellier, prix Goncourt 2020 au million d’exemplaires vendus de L’anomalie. Celle d’un écrivain « drôle, tendre, cruel et politique », comme dit Adeline Dieudonné, l’autrice de La vraie vie, coup de poing 2018 et Prix Rossel cette année-là. Le Rossel, Gunzig lui l’a eu en 2001 pour Mort d’un parfait bilingue. Avec lui, jamais de ronron, ni d’accoutumance : pour s’en persuader, il suffit de lire Manuel de survie à l’usage des incapables, La vie sauvage, Encore une histoire d’amour, Feel Good et maintenant Le sang des bêtes. C’est du Thomas Gunzig, on reconnaît sa patte, son humour, sa dérision, son écriture et sa profondeur sous des airs de ne pas y toucher, et c’est chaque fois surprenant et jubilatoire.

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