Rudi Vervoort, l’urgence d’un nouveau départ pour Bruxelles
Les premiers mois de 2022 diront si le gouvernement bruxellois se reprend ou s’empêtre dans les tensions à répétition.


Deux petites années utiles… Un capital de temps politique réduit pour le gouvernement Vervoort – les autres exécutifs du Royaume sont en principe logés à la même enseigne. Rétroplanning imparable : en 2024, le premier semestre a ses scrutins européen, législatif, régional, le second ses élections communales. Dans 24 mois, les bonnes résolutions seront donc unanimement électorales… En 2022, elles se veulent collégiales : « On veut avancer sur les dossiers ». Un mode constructif inspiré par une fin d’année désastreuse, en termes d’image, pour la majorité bruxelloise, laquelle a enchaîné des crise(tte)s sur le budget, l’abattage rituel, l’encadrement du secteur des taxis, la politique de stationnement… Avec déclarations musclées dans les travées parlementaires, en coulisses, et aux micros. Une mauvaise séquence dont espère sortir au plus vite le ministre-président socialiste. Parce qu’il déteste les conflits. Et parce que cette cacophonie ternit son blason de chef d’équipe.

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