Codeco et culture: Jeholet explique et assume
Dans un long exposé, le ministre-président explique et recadre la rationalité d’une culture fermée, d’une jauge maintenue à 200 et d’un baromètre qu’il approuve sous conditions.


Comment le ministre-président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Pierre-Yves Jeholet (MR), a-t-il défendu la culture lors des Codeco de décembre et de ce mois de janvier ? Le libéral s’en est longuement expliqué ce mercredi devant un parlement communautaire passablement remonté.
A force d’écouter la colère – « légitime », dira-t-il d’emblée – exprimée par le secteur culturel, on en oublierait les nécessaires accommodements à trouver dans une négociation aussi transversale que celle menée en comité de concertation : « Je ne peux pas accepter l’argument du marchandage politique », dira-t-il en réponse aux accusations de « jeu politique » qui ont émaillé les discours culturels : « Il y a toujours des discussions politiques, mais dans l’unique but de trouver un équilibre. »

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
Bref, il manque toujours quelque chose. La compétence d'agir (et pas seulement de causer), les moyens financiers, les justes équilibres (politiques, linguistiques, philosophiques, sociétaux, ...) et le cran pour déplaire à ses "amis" et "céder" devant ses "ennemis" quand c'est la seule chose à faire. On veut tout et son contraire : on veut bien un baromètre qui indique le temps qu'il fait mais à condition qu'il ne fasse pas sortir le parapluie quand il pleut.
C'est vrai Monsieur Jeholet que c'est tellement plus économique d'ouvrir les fenêtres des classes. Qui paiera la facture énergétique ? La Fédération Wallonie-Bruxelles a les moyens pour ca ? Aucune vision à long terme ces politiciens, toujours le nez dans le guidon.
des pauvres excuses
Pierre-Yves Jeholet (MR): démissionnez